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EcoAct à la 2ème session des Green Drinks de Paris

Vous avez dit Green Drinks ? Mais que sont donc que ces sessions «verres verts» ?

Les Green Drinks ce sont des rencontres informelles d'acteurs du développement durable autour d'un verre pour se rencontrer, partager des idées, lancer des initiatives  ou un projet, et surtout « réseauter », le tout en buvant un petit verre dans une ambiance conviviale. 

Chaque mois se rencontrent au Café ZANGO à Paris les passionnées du Développement durable et de la RSE : des personnes du monde associatif, des acteurs privés, des acteurs académiques, des consultants, des entrepreneurs sociaux des étudiants, etc.…

Le but affiché de ces sessions est de permettre à tous ces acteurs d’agrandir leur réseau.
Ainsi le concept des Green Drinks demande à ses « membres » d’inviter de nouvelles personnes du monde du « DD » à chaque réunion. Ceci permet non seulement d’accentuer le buzz autour de l’événement mais aussi de rencontrer de nouvelles personnes à chaque session.

Les sessions Green Drinks existent déjà dans plein de pays du monde : Le Royaume Uni, les Etats-Unis, l’Australie, L’Allemagne, la Suède, les Pays Bas, l’Argentine, la Belgique, la Chine, le Brésil, le Japon, le Mexique, la Pologne, l’Inde…etc. Dans beaucoup de ces pays, le concept fait fureur, beaucoup ont trouvé un travail, d’autres ont développé de nouvelles idées ou ont signé des contrats, bref la formule fonctionne !

La prochaine rencontre aura lieu au mois de Juin, et pour en savoir plus allez voir leur blog : http://greendrinksparis.over-blog.com.
Nous on a été et on a aimé, alors sans doute à la prochaine !

Par Nathalie

EcoAct, membre du Comité 21

Toute l’équipe d’EcoAct est fière d’adhérer au Comité 21, Le Comité Français pour le Développement Durable, et de contribuer encore davantage à l’ancrage du développement durable en France, en apportant notre expertise au sein des groupes de travail et débats organisés par cette association.

Rassemblant aujourd’hui plus de 370 parties prenantes (entreprises, collectivités, associations, personnalités…), cette adhésion nous permettra également d’améliorer nos connaissances et nos pratiques, en dialoguant et en échangeant avec l’ensemble des acteurs, afin de mieux comprendre les défis et enjeux actuels.

EcoAct s’engage donc aux côtés du Comité 21 et garantit de répondre, dans le cadre des Objectifs du Millénaire, aux engagements pris pour les 10 ans à venir, à savoir :

Agenda 21

"Agenda 21 des collectivités locales et développement durable en entreprise, similitudes, complémentarités, différences"
Tel est l’intitulé de la conférence organisée par PeRSEe à l’ESC Toulouse le 29 avril 2007.

Deux invités ont présenté leurs démarches de Développement Durable :
< Guillaume Ajavon, en charge du développement durable à la Mairie de Toulouse a présenté l'agenda élaboré par la ville ;
- Philippe Escourbiac, Président de l’Imprimerie Escourbiac a développé la politique RSE de l’entreprise.

L’Agenda 21, qu’est-ce que c’est ?

Lancé lors du Sommet de la Terre à Rio en 1992, l’Agenda 21 se décline à l’échelle locale.
Les collectivités locales sont de plus en plus nombreuses à s’engager dans cette démarche.
Le terme "Agenda 21" correspond donc à un projet de développement durable, conçu à l’échelle d’un territoire par une collectivité publique.

> Il vise à répondre aux besoins de toute la population, avec le souci de préserver l’environnement, d’assurer l’accès de tous aux services essentiels et de développer des activités économiques soutenables.

> Impulsé par l’élu, il est élaboré et mis en œuvre en concertation avec les forces vives de la collectivité (collectivités, habitants, associations, entreprises, structures déconcentrés de l’Etat, réseaux de l’éducation et de la recherche…).

L’entreprise, elle, n’utilise pas le terme Agenda 21 lorsqu‘elle définit son projet de développement durable.
Mais finalement, la démarche y ressemble puisqu’elle dans les deux cas, elle aboutit à un plan d’actions précis.

Comme pour un Agenda 21, une véritable politique de développement durable implique la concertation et la participation de toutes les forces de l’entreprise. De la même façon, la démarche s’inscrit nécessairement dans un environnement qui implique une bonne interaction avec l’ensemble des parties prenantes.

la politique énergétique face au risque climatique : les différents scénarios

Au moment où les Etats préparent les suites de l’après Kyoto 2012, le débat public de société sur le risque climatique et la lutte contre l’effet de serre prend une nouvelle ampleur dans le monde.
Face à cette prise de conscience des opinions, quels sont les scénarios possibles de réduction des émissions de CO2 au niveau mondial pour faire face à ces risques ?

Claude Mandil, Directeur Executive de l’AIE (Agence Internationale de l’Energie), a donné sa vision des futurs possibles lors du diner-débat qui a eu lieu à Paris le 22 février, organisé par les Groupements Energie-Chimie et Environnement de l’association HEC.
Voici des extraits de son intervention...

économie positive : pour une conscience énergétique durable

"Promouvoir une conscience énergétique européenne auprès des particuliers et des entreprises"...

Telle est l'ambitieuse mission d'Eden /  think tank "vers une conscience énergétique européenne."  

L'association basée à Sofia Antipolis, fondée par Valérie Blanchot Courtois :
- rassemble l'ensemble des acteurs de l’énergie,
- soutient activement le développement d'innovations en faveur d'une utilisation réfléchie de l'énergie.

> L’objectif n’est autre que repenser nos rapports avec l’énergie en développant des solutions énergétiques durables.

En effet, nos sociétés modernes se sont développées en s’appuyant sur une consommation irraisonnée de l’énergie. Résultat : l’effet de serre s’emballe et nous épuisons nos réserves d’énergie fossile (presque 90% du bilan énergétique mondial).
Les pays émergeants suivent la même voie. Ainsi, la Chine, l’Inde et le Brésil voient leurs consommations exploser.

En France, depuis la guerre, nous avons privilégié l’offre d’énergie par rapport à la maîtrise de la consommation.
Dès le choc pétrolier de 1974, des mesures fortes d’économies ont néanmoins été mises en place.
Ainsi, la loi de programme du 13 juillet 2005 fixant les orientations de la politique énergétique reprennent une action plutôt volontariste dans le domaine de la maîtrise de l’énergie en visant une baisse de l’intensité énergétique (rapport entre la consommation d’énergie et le PIB) de 2% par an à l’horizon 2015 et et 2,5% d’ici 2030. Ce qui peut paraître faible, mais cela démontre déjà une volonté.
Consulter la politique de l'énergie sur Vie Publique ICI.
Parmi les éléments phares de la loi figure la mise en place d’un système de certificats d’économie d’énergie échangeables.